H. Annoncer-une and U. Diabète, avec prise quotidienne du traitement, ça n'est pas rien. Il est là question du périmètre de l'annonce. On en fait en fait bien plus que

. Oui, mais ça ne rentre pas dans le cadre du dispositif, c'est ça ? (tous demandent si le sujet traité est bien le cancer uniquement ?)

. Je-pense-qu, il est nécessaire d'évoquer tout de suite une source d'espoir, c'est une sauvegarde du patient et de nous-mêmes. En tant que son médecin traitant

. En-pédiatrie, les parents sont en difficulté sur certains diagnostics. On s'aide alors du contexte de chaque patient

. Oui, on distingue deux situations Soit l'annonce est brutale car la découverte l'est aussi. Soit il y a une suspicion préexistante donc il peut y avoir une préparation

@. Lorsqu, une pathologie cancéreuse est découverte chez un de vos patients, qui lui annonce le diagnostic ? Dans quel délai en êtes-vous informé, l'information est-elle de qualité ?

. Oui, Alors qu'on devrait être un intermédiaire à chaque maillon de la chaîne

C. Qu, il faut que le patient soit vu dans sa totalité et non exclusivement vis-à-vis de sa pathologie cancéreuse

. De-notre-côté, Nous devons faire les choses. À l'hôpital, c'est trop facile de déléguer la responsabilité. En cabinet, on ne fait pas forcément mieux, mais on se doit de le faire

. Malheureusement, avons parfois pas beaucoup de temps, il y a trop de contraintes aussi, mais il n'y a pas le choix

. Cela, Dans certains cas, ça se passera forcément bien et dans d'autres

. Je-pense-qu, il est important de préparer le patient à cette éventualité. L'annonce elle-même se déroule ensuite mieux, c'est moins brutal

. Je-trouve-surtout and . Qu, on reformule beaucoup, après l'annonce par le spécialiste, plus que l'on annonce. Le patient a besoin qu'on lui confirme ce qu'il a compris, qu'on remette des mots. C'est plus souvent fait en cabinet qu'en service hospitalier

. Et-certains-ne-veulent-pas-entendre, C'est là le rôle du médecin traitant. Le patient le connaît, il acceptera plus volontiers l'information si elle vient de son médecin à qui il fait confiance, plutôt que du spécialiste

. Oui, parfois, avoir uniquement le diagnostic n'est pas assez. Les gens ont besoin de savoir aussi ce qu'il y a derrière

. Parfois, on reçoit le courrier de RCP, par exemple, mais ce n'est pas adapté à nos besoins

@. Globalement, avez-vous constaté l'implantation du dispositif d'annonce et son application ? Quelle est l'influence de sa mise en place sur l'intégration du généraliste dans le parcours de soins ?

. Le, a été mis en place lors de mon deuxième semestre d'internat. J'ai eu l'impression qu'il y avait un impact à ce moment. Mais depuis que je suis remplaçante

. Mais-en-ambulatoire, je n'ai pas constaté de changement, même s'ils sont mieux informés Du coup, ils posent certaines questions, plus pointues, auxquelles on ne peut pas toujours répondre

. Oui, les patients peuvent aussi aller chercher certaines informations de leur côté. Cela oblige les équipes à délivrer des informations précises

. Ça-dépend-aussi-de-la-relation and . Qu, on a avec le patient, car parfois le spécialiste n'a plus sa place dans la thérapeutique et c'est alors au généraliste de prendre le relais au coeur de la situation

C. Santé and A. Au, oui non Mutuelle : oui non CMU : oui non ALD : oui non En cours Orientation vers médecin TTT avec lettre PH Frais de soin à charge : non oui Demandeur d'asile Titulaire d'un droit de séjour Sans papier Ressources financières Difficultés financières du fait de la maladie : non oui Personne bénéficie de minima sociaux, non oui Autres demandes Animaux de compagnie : Autres : Recommandations/ Orientation consultation sociale Les cases grisées doivent orienter vers une consultation sociale Actions mises en place

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