A. Projets-godfrin-ne-se-découragea-pas-et-songea-À-occuper-l-'emplacement-de-l-'ancien-grand-séminaire and D. Travaux, Il était situé face à l'église Saint-Pierre, rue de Strasbourg, actuelle avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny. Il a été cédé à l'Université de Nancy par le décret du 19 mars 1908 de la loi de séparation des Eglises et de l'Etat de 1905 Ce projet avorta également pour les mêmes raisons (coût de remise en état trop important). C'est la Faculté des sciences qui en héritera et y déménagera son service d'histoire naturelle, FIGURE FIGURE, vol.27, issue.2862

H. Cordebard, 1891-1977) fut le premier interne provisoire recruté sur concours en, 1913.

L. Centre-psychothérapique-de-nancy and . Au-lieu-dit-maréville, Les premiers bâtiments datent de 1597 et accueillaient des pestiférés. En 1838, il devenait asile public d'aliénés après de nombreuses autres fonctions (manufacture, renfermerie, noviciat, ?)

H. Roche-fut-le-second, suivi par son épouse, l'une des premières femmes pharmacien hospitalier, qui exerça de Ce fut ensuite le tour d'André Hamelle qui précéda Jules Garnier, Louis Godfrin, 1909.

V. Les, . De-l-'ecole-1, . Association, . Etudiants-de-l-'ecole-superieure, . De et al., Association amicale des étudiants en pharmacie de Nancy sur les conseils du directeur Bleicher Ses débuts furent lents et bien modestes Elle se rattacha à l'Association des étudiants en pharmacie de France Après la mort de Bleicher, le promoteur de l'association, l'association n'évolua plus pendant deux années. En décembre 1903, un nouveau comité était élu et l'association gagna en ténacité. Chaque année il en Parmi les différentes installations très variées, on peut citer le village alsacien, la ferme lorraine, les pavillons des chambres de commerce de l'Est, de l'Ecole d'Art de Nancy, des écoles ménagères, des pompiers, le palais de l'enseignement et des arts décoratifs, le palais de l'alimentation, le pavillon des postes et de la presse, le palais des fêtes, le palais de l'électricité, des mines et de la métallurgie, un aquarium géant, on peut admirer l'étendue et l'importance des différentes constructions, 1901.

. Le-nombre-des-exposants, en comptant les collectivités pour un, était de 2 059. Pour apprécier l'ampleur de l'Exposition et la variété de ses exposants, on peut reprendre la liste des quatorze groupes qu'ils formaient

I. Groupe, II : oeuvres d'art et art décoratif lorrain Groupe III : instruments des lettres, des sciences et des arts Groupe IV : mines et métallurgie Groupe V : mécanique générale ? électricité Groupe VI : génie civil ? matériaux de construction ? moyens de transport Groupe VII : construction Groupe VIII : textiles Groupe IX : industrie chimique Groupe X : industries diverses (orfèvrerie, maroquinerie, bronze, etc

X. Groupe and P. Cie, Groupe XIII : alimentation Groupe XIV : économie sociale ? hygiène sociale ? assistance Ces groupes étaient subdivisés en classe. Il y en avait 70 au total. Par exemple, le groupe I qui avait pour thème l'enseignement, possédait la classe 1 qui regroupait les enseignements primaire, primaire supérieur, technique et professionnel, et la classe 2 qui unissait quant à elle l'enseignement supérieur avec les associations et sociétés scientifiques correspondantes. (82) Un périodique intitulé « Journal de l'Exposition » permettait de suivre jour par jour les actualités depuis le 1 er mai jusqu'à la clôture, le 31 octobre 1909, FIGURE LABORATOIRES MONAL FRERES RUE DES DOMINICAINS FIGURE, vol.51, issue.5283, p.agriculture ? horticulture ? viticulture ? pisciculture ? arboriculture Groupe XII : forêts ? chasse ? pêche ? cueillettes

S. Vie-pierre-godfrin-Était-le-fils-cadet-du-directeur-julien-godfrin, Il est né le 15 mai 1891 à Nancy. Il suivit la même voie que son père et son frère, Comparé à son frère, Pierre Godfrin est resté assez discret et les informations sur lui sont restreintes

. Bientôt-la-guerre-fit-rage, et son cursus se vit entrecoupé Il fallait se hâter d'avoir son diplôme afin de se créer une situation stable. Tout comme Louis, il servit son pays de manière exemplaire

«. Pharmacien-auxiliaire-Énergique, Au cours des journées des 27, 28, 29 et 30 mai, a disposé le poste de secours avancé dont il était chargé ; restant constamment en contact avec les régiments d'infanterie, permettant ainsi, dans des conditions rendues difficiles, souvent très critiques, par le repli des troupes, d'évacuer dans les meilleures conditions, tous les blessés de la division ». (O. S. S. 3 juin 1918). » (9) Il fut finalement diplômé pharmacien de 1 ère classe en 1920. (9) Il passa probablement quelque temps à Paris où il se maria le 2 décembre, 1920.

Y. Breton, Peut-être travailla-t-il en laboratoire avec le docteur Magrou de l'Institut Pasteur et avec le docteur Saint-Girons de l'Hôpital des Enfants malades à Paris ? En effet, il remercie ces personnes au début de sa thèse. (16) En avril 1921, il exerça à la Pharmacie anglaise de son frère rue Gambetta à Nancy. Ils travaillèrent ensemble et développèrent des activités d'analyses médicales au sein de la pharmacie. Tous deux s'associèrent pour acheter la pharmacie du Point Central, Il résidait au 13, rue du Maréchal Bassompierre à Nancy. (98) En 1932, des transformations de son immeuble résidentiel étaient dues à Emile André

S. Activites, E. Microbiologie-après-plusieurs-années, and A. Godfrin, il voulut revenir à ses études afin d'obtenir le grade de Docteur en Pharmacie. Son travail consistait en la rédaction d'une thèse dont le Professeur Lasseur, enseignant en microbiologie, a bien voulu proposer le sujet. Son intitulé est Contribution à l'étude des Bactéries bleues et violettes, FIGURE FIGURE, vol.68, issue.6994, 1925.

L. \. Difrére and S. Habituellement-pra-t1qutes, Ilbld ion .1. WA3SfIlMAN, COIl.Lonl ?? 1 "MB RD DO.A~e M l'urée ? 1tcnnc:uhure i!t UJU d la::noltit ' Bac typ hique cl ptlrolyph iquCH), Eu· ru..:.n n i :roicoplquc ? He L:hO::l chr dei pP fDii teti Nume, .. tion ,lobulaire

. Rochr, D. Lu-klu, /. Do, and . C. Jjji, ~Iém"l. uorm us t nnorm lUX RiiJJport.l urotoliques ? EXQIU~::J micru5copique de ... cdi ment. IU'ÎnLt.:i f'es Ex.nUHIO cytologi rlU t" du culu1 dt) cenli"ifugation PtlU! n-Il' ll1u fUI 'nt ... ' 1 1, Iuu:Jf!J ~ ru lur lJn

L. Pharmacie, . Point, and . Central, En avril 1921, Louis ayant cédé son officine de la rue Gambetta à son frère, il acquiert alors la pharmacie du Point Central à l'angle des rues Saint Dizier et Saint Georges, RUE SAINT DIZIER), vol.35102, issue.94104

. Selon-gilles-marseille, immeuble abritant la pharmacie daterait du XVIII ème siècle. A l'occasion du changement de propriétaire, Louis Godfrin fit entièrement refaire l'extérieur comme l'intérieur en 1922

. Sur-une-forme-non-décrite-du-bourgeon and . Dans-le-sapin-argenté, Bulletin de la société botanique de France, s. 3, 1, p. 127, 9 février, pp.13-116

. Recherches-anatomiques-sur-le-genre-panoeolus, Bulletin de la Société des Sciences de Nancy, s. 3, 1, fasc, p.194

P. Né, pour retrouver leurs origines paternelles. Pendant ses études à l'Ecole des Beaux-Arts, il était apprenti sculpteur sur bois et menuisier ébéniste Il commença sa carrière en travaillant pour Grüber puis ouvrit sa société, travaillant le bronze et le mobilier Ne pratiquant que le sur-mesure, il était décorateur, sculpteur et modeleur. Il décorait les intérieurs des bourgeois de Nancy et des commerçants Il réalisait aussi les décors des façades d'immeubles, des vitrines, des portes, des grilles, etc. Par exemple, on lui devait l'intérieur de la pharmacie Fandre, sa famille déménagea à Nancy six ans plus tard et les ferronneries et la sculpture du bâtiment de l'Est Républicain, avenue Foch à Nancy. La mort de sa femme et la crise économique le touchant, son entreprise fit faillite et il disparut dans la plus grande ignorance. (108), (109) LOUIS DEON, pp.1879-1923

. Il-Était-vérificateur-constructeur, contrairement aux autres artistes, il n'avait pas fait l'Ecole des Beaux-Arts. Francis Roussel a dit de lui : « C'est plus un suiveur qu'un novateur ». Jusqu'à sa mort

. Il-obtint-son-diplôme, Ecole Nationale des Beaux-Arts en 1898 Il s'installa ensuite à Nancy et se fit connaître par des constructions marquées par une esthétique Art nouveau d'inspiration florale. Il travaillait avec son oncle, Henri Gutton, polytechnicien-constructeur. Quelques unes de ses oeuvres sont : le magasin Génin-Louis n°2 rue, considéré comme le manifeste de l'Ecole de Nancy dans la capitale. (108) LAURENT NEISS C'était un ébéniste dont l'atelier, ouvert en 1905, se situait au 9

. Maxéville, Il s'était associé à un homme d'affaires (banquier ou notaire ?)

. Sa-société-s-'appelait-klein-neiss, Son travail était constitué de mobilier du « style moderne ». Il a réalisé plusieurs projets d'Emile André et de Jacques Gruber, De plus, il était Président du Syndicat de l'ameublement du département de Meurthe-et-Moselle. (103) REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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