. Ou-du-dictionnaire-de-spiritualité,-t, . Xiv, and B. Paris, Les deux fondements théologiques de la pratique du scapulaire sont la communion des saints et les conseils évangéliques. Le port du scapulaire apporterait le privilège d'une libération rapide du Purgatoire. La Vierge l'exercerait le samedi suivant la mort d'un confrère du Carmel. Le nom de privilège sabbatin est donné à cette croyance en souvenir de la révélation qui aurait gratifiée le pape Jean XXII (1316/1334) la veille de son élection. Cette relation semble contredire la tradition perpétrée, pp.390-396

. Wittkower, Art et architecture en Italie, pp.1600-1750, 1991.

. Argan, L'histoire de l'art et la ville, crise, culture, design, p.141, 1995.

. Outre-la-célèbre-place-saint-pierre-de-rome, Le Bernin utilisa un plan ovale privilégiant l'axe transversal pour l'église de Saint-André-du-Quirinal, par exemple. Borromini ne négligeait pourtant pas l'axe transversal de l'ovale : ainsi à Saint-Charles-aux-Quatre-Fontaines

F. A. Le-prélat-contribua-aussi-À-faire-connaître-l-'architecte, A. Pilgram, and . Galli-bibiena, Frantz Xaver Karl Palko (1724-1767) et J. Kurtz 2 . La venue des Trinitaires dans la cité fut favorisée par certains membres de la famille Szechenyi, Georges et Imre, euxmêmes protecteurs d'artistes connus dont Maulbertsch que l'on retrouvera plus loin. Il n'est pas étonnant de retrouver la plupart de ces artistes oeuvrant à l'édification du couvent de Bratislava Si nous connaissons le nom de la plupart de ceux ayant collaboré à la décoration de l'église, en revanche, le nom de l'architecte ne nous est pas parvenu. La construction de l'église débuta en 1717, le paiement du décor de la voûte et de tout le décor intérieur fut payé le 20 mai 1744 à Antonio Galli-Bibiena 3 . mais les travaux ne s'achevèrent qu'en 1758. Les églises de l'ordre s'inspirant de Saint-Charles-aux-Quatre-Fontaines furent relativement peu nombreuses. Celle de Bratislava, second édifice religieux en importance après la cathédrale de la ville, est à joindre à cette liste. L'église forme un des côtés d'une petite place. La façade adopte un plan concave dont la filiation remonte aux modèles fournis par Borromini, Saint-Philippe-Néri ou Santa Maria dei Sette Dolori, église restée inachevée, réinterprétés à Vienne, elle fut érigée entre 1702 et 1733 et se caractérise par un corps central concave en avancé, pp.1700-17741668

G. Originaire-de, est articulée en cinq travées divisées en trois niveaux, le supérieur étant réservé aux deux clochers et au fronton Le corps central non-saillant est uni aux deux tours-clochers non seulement par les deux travées intermédiaires, plus étroites, mais aussi par un jeu de soubassements et d'entablement fortement marqués combinant les niveaux les uns aux autres. La décoration rococo est seulement cantonnée au portail, tandis que, sur la façade, ce sont les fenêtres, sobrement soulignées d'un chambranle, de dimensions différentes qui jouent le rôle décoratif, tout comme l'ordonnancement classique des trois ordres utilisant des pilastres peu saillants. La présence des deux tours constitue une originalité par rapport à la façade de Saint-Charles-aux-Quatre-Fontaines

. Comme-dans-les-exemples-précédents,-la-façade-dissimule-le-plan, L'architecte de l'église de Bratislava, resté anonyme, se souvint du plan de Saint-Charles-aux-Quatre-Fontaines pour dessiner celui de son église. L'ovale, d'une forme parfaite, se voit adjoindre une abside jouant le rôle de choeur. Déjà présente à Saint-Charles, cette structure est davantage mise en valeur à Bratislava. Par ailleurs, les travées sont moitié moins nombreuses à Bratislava qu

. Cependant and . De-la-facture,-incluant-le-décor-de-la-coupole, travaillant pour la plupart des cours européennes Ils se firent connaître aussi pour leurs talents d'architectes et de scénographes Après avoir réalisé le maître-autel de l'église Saint-Pierre de Vienne (1730-1732) et la façade de l'église Sainte-Barbe de Mantoue (1737) Antonio Galli-Bibiena revint à Vienne où il enseigna à l'Académie de cette ville Lorsqu'il fut contacté par les Trinitaires pour le décor de leur église à Bratislava, il s'associa avec l'un de ses disciples les plus doués : Franz Xaver Karl Palko Il est également permis de penser qu'il recommanda un autre de ses élèves aux religieux Johann Gfall (1725-1800) que nous retrouverons plus loin. L'artiste viennois Carl Jakob Unterhuber (1700-1752), est l'auteur des quatre Évangélistes peints ornant les niches en trompe-l'oeil du tambour, tout comme des anges portant la croix rouge et bleue ornant le lanternon illusionniste. Les religieux changèrent-ils d'avis en cours de chantier ? Était-il prévu à l'origine un décor en stuc qui aurait rendu l'église slovaque plus proche de son modèle romain ? Le projet fut-il abandonné pour des raisons financières où à la suite d'un désaccord avec Bussi ? Sans pouvoir répondre précisément à ces questions, on sait qu'Antonio Galli-Bibiena exécuta un décor en grisaille simulant des nervures encadrant des caissons pour la coupole qui fut terminée en 1748 Quatre ouvertures ovales laissent pénétrer la lumière. Le tambour peint également est orné de colonnes et de niches décorées de statues en trompe-l'oeil représentant les quatre évangélistes. Des anges portant la croix rouge et bleue des Trinitaires ornent le lanternon illusionniste. Le choix d'une coupole peinte en trompe-l'oeil constitue peut-être une innovation. En effet, Galli-Bibiena rompait avec la tradition fortement établie de la fresque figurative en trompe-l'oeil, quiAndrea Pozzo (1642-1709) à San Ignazio (1691/94), occupait les surfaces d'édifices civils et religieux 2 . Le simple décor géométrique qu'il mit en place au lieu des grandes compositions figuratives trouvait sa I er (1077/1095) proposa la canonisation du roi Étienne de Hongrie (1000-1038), de son fils Émeric et de l'évêque Gérard afin de rendre la religion plus proche du peuple manière identique : texte entouré d'un riche décor et surmonté d'un cartouche représentant un saint, par exemple. Les Bibiena formaient la famille la plus connue de « quadraturistes Histoire de la culture hongroise La page 252 montre Jean de Matha agenouillé, en oraison. Avant même la canonisation de Jean de Matha, l'effigie du religieux envahissait les parois de couvents étrangers à l'ordre. Simon Vouet conçut probablement le décor du réfectoire des minimes de la Place Royale à Paris 1 . Il fut exécuté de 1648 à 1651 par Vouet, mais ce fut Laurent de La Hyre qui termina le travail 2 Le saint est très sobrement représenté tenant un cep entre les mains. La croix pattée, d'une dimension très importante, pp.1698-17621588, 1994.

. Grâce, L. Intitulée, . Église-triomphante-et-militante-contemplant-la-trinité, and . Cette-fresque-inspira-À-molière-le-poème-la-gloire-du-val-de-grâce, Elle reste sans doute l'oeuvre la plus importante de la carrière de Pierre Mignard qui l'exécuta entre 1663 et 1666 3 . Ce décor donna lieu à l'exécution d'un dessin dû à Michel II Corneille, pp.1642-17081640

. Toutefois, contrairement à l'exemple des Minimes où il était représenté dans une niche, Jean de Matha figure à mi-corps sur la fresque du Val-de-Grâce

L. Laurent-de and . Hyre, 1606-1656) L'homme et l'oeuvre, cat. exp, Grenoble/Rennes/Bordeaux, 1989.

. Ruprich-robert, La vie de Pierre Mignard ... avec le poème de Molière sur les peintures du Val-de-Grâce, Paris, 1730. Ce sujet a fait l'objet d'une communication lors du colloque consacré à Pierre Mignard, et aussi Mazière de Monville (abbé), pp.1645-1665, 1875.

J. Carreño-de-miranda-fut-un-artiste-singulier-dans-le-siècle, alors que les grands foyers artistiques étaient principalement andalou et madrilène Très curieusement, Carreño, grand admirateur de Van Dyck, considérait que Van Thulden était le disciple de ce dernier. Si l'exécution finale du tableau du Louvre est l'oeuvre de Carreño de Miranda, Asturies) le dessin préparatoire du tableau est dû à Francisco Rizi (ou Rici) (1614-1685) qui y combine des influences locales. Il est conservé au Cabinet des dessins de la Galerie des Offices, à Florence. Pour l'exécuter, Rizi a nécessairement eu connaissance de l'estampe de Van Thulden alors qu'il travaillait au couvent des Trinitaires chaussées de Madrid. Ces emprunts entre artistes montrent que les estampes, non seulement étaient diffusées à travers l'Europe

V. Carducho, Rizi se souvint-il de l'enseignement de Carducho lorsqu'il travailla pour les le couvent de Pampelune ? Les deux artistes travaillaient au même objet, la célébration de l'ordre, mais l'esprit des commandes était différent. Carducho put s'exprimer dans un cycle complet, ce qui le rapproche de Van Thulden, alors que Rizi dut se contenter de représenter seulement la première messe du fondateur Au premier regard, Rizi semble avoir retenu une composition différente de celle de son maître, restituée par un artiste du XIX e siècle 2 . Cependant, nous pensons déceler l'influence de Carducho dans la petite scène située à l'arrière-plan, que cet artiste utilise presque systématiquement dans le cycle de Madrid. En effet, à l'arrière-plan, nous remarquons Félix de Valois : en oraison devant le cerf blanc portant la croix rouge et bleue entre les bois, il est vêtu d'une simple bure brune, pressentant, semble-t-il, artiste qui exécuta en 1632 un cycle pour l'église des Trinitaires déchaussés de MadridCarducho) et à Félix de Valois (Rizi, Carreño et aussi chez Diego Velásquez 4 ), pp.78-1639, 1576.

. Le-dessin-de-rizi-fut-suivi-d-'une-esquisse, Elle constitue une étape intermédiaire qui servit directement à la préparation du tableau du Louvre 5 . Revenons à celui-ci. Si l'on compare les compositions de Van Thulden et de Carreño, on peut souligner que la position de l'ange échangeant les deux captifs diffère. Il est représenté de profil dans le premier exemple, de trois-quarts dans le second. Il ne s'agit pas uniquement là d'un simple choix esthétique justifié par l'axe de l'autel ; cette position

. Cf and . Baticle, « La fundación de la orden trinitaria, de Carreño de Miranda, pp.140-151, 1964.

(. J. Baticle, . Genèse, and . Sullivan, La fondation de l'ordre des Trinitaires », Revue du Louvre, t. I « Politics and propaganda in the « Sagrada forma qui reprend les théories de Jeannine Baticle. L'influence des estampes provenant des pays flamands à destination de l'Espagne se fit sentir de la fin du XVI e jusqu'au début du siècle suivant chez les grands maîtres tout comme chez les artistes secondaires, Une oeuvre retrouvée de Carreño de Miranda Cf. Guignard (Paul), « L'influence flamande sur la peinture espagnole du siècle d'or », Actes du XXII e congrès international d'histoire de l'art, pp.14-32, 1965.

H. Huile-sur-toile, 1,062 ; L. 0,80, signée en bas, près du bord : J. Carreño, An, pp.166-511

. Granet, Une vie pour la peinture, cat. exp., musée Granet, Aix-en-Provence, pp.1775-1849, 2008.

A. De-forbin, En 1795, il gagna Paris où il étudia auprès de Demarne avant de rejoindre l'atelier de David. Ce sera l'artiste qui aura le plus d'importance dans le développement du style troubadour, mais sans pour autant imprimer sa personnalité propre. Il participa aux campagnes d'Autriche et d'Espagne. Le voyage dans la péninsule ibérique lui inspira plusieurs tableaux. Il eut ensuite de nombreuses responsabilités dans le domaine des musées. Il prit la succession de Vivant Denon à la tête des Musées royaux, créa le Musée du Luxembourg en 1818, transforma le palais de Versailles en musée et fut à l'origine de la création du Musée de la Marine. De nombreux croquis et aquarelles servirent d'illustrations, une fois lithographiés, à des récits de voyages en Méditerranée, Sur son action à la tête du Louvre, Cf. Angrand (Pierre), Le comte de Forbin et le Louvre en 1819, pp.1777-1841, 1972.

L. Ainsi and . Potence, du premier plan, qui évoque la croix du Christ, renvoie-t-elle à l'improbable crucifix qui se détache, fantomatique

J. Van-eycken and M. R. , Italie dans les années 1850 Pour la biographie de cet artiste on se reportera aux références suivantes : 1770-1830 Autour du néo-classicisme en Belgique, cat. exp. Musée d'Ixelles, Bruxelles Ogonovszky (Judith), « Redécouverte de Jean-Baptiste Van Eycken, peintre de genre (1800-1861), cousin et homonyme de Jean-Baptiste Van Eycken, peintre d'histoire (1809-1853) Biographies respectives Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles. 275 ans d'enseignement, pp.389-390, 1985.

V. Joinville, . De, . Louis, É. J. Paris, /. Monfrin et al., L'édition Mémoires du sire de Joinville ou Histoire de saint Louis IX, ne mentionne pas le prénom, p. 147 : « alors je vis un grand nombre de nos gens qui étaient là, se confesser à un religieux de la Trinité qui était avec Guillaume comte de Flandres, p.174, 1995.

. Laguerre-Éd, 156 : « les génois accueillirent le roi, le comte d'Anjou, son frère, monseigneur Geoffroy de Sergines, messire Philippe de Nemours, le maréchal de France, le maître de la Trinité ... il n'y avait avec le roi que son frère le comte d'Anjou, le maréchal de France, 1879.

. Le-premier and . Intitulé-un-moine-absorbé-dans-ses-méditations,-place-le-frère-dans-un-jardin-Évoquant-un-cloître, intérieur des bâtiments 5 . L'artiste présenta peut-être son tableau au Salon de 1833 Plus intéressant est le second, intitulé La confession, présenté au Salon de 1842 6 Le prêtre, barbu, entend la confession d'un homme, mourant ou condamné ?, le premier placé en pleine lumière, les yeux tournés vers le ciel, le second émergeant des ténèbres tel un spectre Empreint de romantisme, le tableau illustre un thème répandu dans les scènes de genre au XIX e siècle. Il rappelle surtout l'efficacité des prières de nos religieux en faveur des âmes du Purgatoire. Stanislas Torrents y de Amat, dit Torrents (1839-1916), d'origine espagnole, reprend la même problématique dans son tableau Le Mort 7 . Il se forma à l'école des Beaux-Arts de Marseille où il s'intéressa particulièrement aux techniques de la gravure. Il alla se parfaire dans cette discipline à Barcelone où il obtint un prix en 1864. Après un séjour à Rome, il arriva à Paris où il suivit l'enseignement de Thomas Couture et rencontra Gustave Courbet dont il s'inspira dans plusieurs tableaux. De nombreuses oeuvres de l'artiste sont conservées dans les musées marseillais

B. Espagne-catalogne-aragon and . Les, ordre comportent de nombreuses lacunes dues à une mauvaise conservation ou à des destructions remontant à l'Ancien Régime Les documents subsistant intéressent davantage l'histoire de l'institution plutôt que les oeuvres d'art ou même l'architecture générées par elle. La chance permet quelquefois de retrouver un document digne d'intérêt, dans ce cas, la mention de la liasse ou du carton consultés figure en note, Concernant certains artistes (Maulbertsch) ou architectes (Borromini) très connus et qui ont bénéficié d'études de grande qualité, seuls les ouvrages directement utilisés dans cette étude sont mentionnés ici

. Aix-en-, Avignon Archives municipales, Beauvais Archives départementales de l'Oise, Châlons-en-Champagne Archives départementales de la Marne, Bibliothèque municipale, Châteaubriand Bibliothèque municipale, Corbeil-Essonne Archives départementales de l'Essonne, Digne Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Draguignan Archives départementales du Var, Etampes Archives municipales, Bibliothèque municipale, La Roche-sur-Yon Archives départementales de la Vendée

P. Bénédictins-de, La vie des saints et des bienheureux, 1949.

C. Gheerbrant, Dictionnaire des symboles, 1 ère éd. 1969, éd. revue et corrigée, 1060.

M. Pérouse-de, Architecture, vocabulaire, coll. Principes d'analyse scientifique, p.622, 1993.

L. Motte, Voyage pour la rédemption des captifs aux royaumes d'Alger et de Tunis fait en 1720, p.1721

. Assomption, Synopsis bullarii ordinis Sanctissimae Trinitatis Medii Aevi, p.429, 1921.

. Assomption, Les origines de l'ordre de la Très Sainte Trinité d'après les documents, 1925.

. Id, Les trinitaires : fondation du XII e siècle pour les captifs et pour les pauvres, Fondations et oeuvres charitables au Moyen Age, pp.75-88, 1999.

A. Dominici, trinitaire messin (c. 1517-1597) », Les cahiers lorrains, Cullière, pp.29-53, 19981.

M. Gray, The Trinitarian Order in England, excavations at Thelsford priory, p.144, 1993.

. Grimaldi-hierholtz, Les Trinitaires de Fontainebleau et d, 1990.

. Id, ordre des Trinitaires, histoire et spiritualité, coll. Des Chrétiens/D'âge en âge, p.239, 1994.

H. Mendes, Testamento de Vasco Martins Rebolo, senhor do casal da Falagueira (Amadora), 1983.

. Knecht, Les Trinitaires. Huit siècles d'histoire, s. éd, p.93, 1993.

. Id, Province Saint-Joseph des trinitaires déchaussés (Autriche, Les Cahiers du C.E.R.O.R, vol.4, issue.5, pp.1687-1727, 1995.

. La-liberazione-dei-«captivi»-tra-cristianità-e and . Islam, Oltre la crociata e il ?ih?d : tolleranza e servizio umanitario, dir. Giulio Cipollone, Actes du Congrès interdisciplinaire d'études historiques, p.848, 1998.

. Liez, « Les « hôpitaux » des Trinitaires et les mystère des reliques de saint Roch », Institutions de l'assistance sociale en Lotharingie médiévale, XIII e Journées Lotharingiennes, pp.385-419, 2008.

. Stroobants, Les ministres généraux de l'Ordre trinitaire, Marseille, éd. trinitaires, p.143, 1966.

. Liez, Contribution à l'art des Trinitaires, mémoire de maîtrise sous la direction de Monsieur le professeur Pressouyre, université de Paris I, 1992.

. Id, Les sceaux de l'ordre des Trinitaires Approche iconographique et catalogue », Revue française d'Héraldique et de sigillographie, pp.67-91, 19921993.

. Id, Un exemple de l'architecture médiévale des Trinitaires : le couvent de Burgos », Utilis est lapis in structura, Mélanges offerts à Léon Pressouyre, pp.207-211, 2000.

. Id, « Les églises de l'ordre des Trinitaires en Europe centrale : à la recherche d'une esthétique, pp.31-32, 2005.

P. Sanchez-(-alfonso and E. ). Un-lienzo-de-vincente-carducho, Boletín del Museo del Prado, t. I, n°3, septembre-décembre, pp.159-162, 1980.

. Serrao, O retabulo do Convento da Trindade, nova base de identificaçao de Nuno Conçalves, extrait de Rev. Municipal n° 138139, 1973.

. Vallery-radot, « Note sur des estampes gravées par Mellan et Van Thulden pour les ordres rédempteurs de Notre-Dame de la Merci et des Trinitaires, Bulletin Philologique et Historique (jusqu'à 1715) du Comité des Travaux historiques et Scientifiques, pp.417-421, 1953.

. Cerfroid, berceau de l'ordre des Trinitaires (1193-1993), ChâteauThierry

. Fournée, « Les Trinitaires en Normandie, couvents et confréries », Société Historique et Archéologique de l'Orne, t. CII, n° 4, pp.107-121, 1983.

. Chélini, Histoire religieuse de l'Occident médiéval, coll. Pluriel, p.661, 1991.

. Dictionnaire, Histoire ecclésiastique de l'Espagne (en espagnol), 1975.

. Gross, The trinitarians' rule of life : texts of the six principal editions, s. l., s. éd, p.61, 1983.

. Malet, Le culte des saints, Pourquoi. Comment, p.167, 1995.

. Bennassar and L. Bartolomé, Les Chrétiens d'Allah, l'histoire extraordinaire des renégats XVI e - XVII e siècles, p.493, 1989.

. Davies, Histoire de la Pologne, éd. anglaise, p.542, 1984.

. Davis, Esclaves chrétiens. Maîtres musulmans. L'esclavage blanc en Méditerranée (1500-1800, édition américaine 2003, s. l., Éditions Jacqueline Chambon, p.335, 2006.

. Ducreux, « La situation religieuse dans les Pays tchèques à la fin du XVI e siècle, Etudes Danubiennes, t. II, numéro 2, 2 e semestre, pp.116-128, 1986.

. Dufourcq, « Les relations du Maroc et de la Castille pendant la première moitié du XIII e siècle », Revue d'histoire et de civilisation du Maghreb, pp.37-62, 1968.

J. Dumont, Lépante, l'Histoire étouffée, p.251, 1997.

. Germain, L'oeuvre de la Rédemption des captifs à Montpellier d'après les documents originaux, J. Martel aîné, pp.1863-1901

. Hale, La civilisation de l'Europe à la Renaissance, p.679, 2003.

. Id and . Les-barbaresques, La course et la guerre en Méditerranée, XIV e -XVI e siècle, 1 ère éd, 2001.

. Hunyadi, Une agglomération provinciale devient métropole : Evolution de Budapest au XIX e siècle (1790-1914) », Etudes Danubiennes, t. I, numéro 1, 1 er semestre 1985, p. 71 à 97, t. I, pp.141-167, 1985.

. Kecskeméti, « Les constantes et les variations de la géographie religieuse dans l'Europe du Centre-Est (X e -XVIII e siècles) », Etudes Danubiennes, t. II, pp.89-97, 1986.

. Leboeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris

. Lemonnier, Charles VIII, Louis XII et François I er , Les guerres d'Italie, pp.1492-1547, 1982.

. Lizot, L. Bernard, and . Guéroulde, Notes d'histoire, Chez l'auteur, Bordigny Breteuil-sur-Iton, 1989.

. Milton, Captifs en Barbarie. L'histoire extraordinaire des esclaves européens en terre d'Islam, 1 ère éd, p.345, 2001.

. Muchembled, Culture populaire et culture des élites, coll. l'Histoire vivante, p.398, 1978.

. Murray, L'esclavage dans le monde arabe. VII e -XX e siècle, p.271, 1987.

. Paris, Histoire de la fondation et de l'évolution de l'ordre des frères mineurs au XIII e siècle, p.717, 1982.

. Rucquoi, Histoire médiévale de la péninsule ibérique, coll. Points, Histoire, p.447, 1993.

. Id, La spiritualité du Moyen Âge occidental, VIII e -XIII e siècle, coll. Points/histoire ère éd, p.214, 1975.

. Vincent, Les confréries médiévales dans le royaume de France XII e -XV e siècle, p.259, 1994.

«. Vodoff and . La-tolérance-religieuse-dans-la-grande, Principauté de Lituanie (XV e -XVI e siècles) », Etudes Danubiennes, t. II, pp.98-105, 1986.

. Barcia, Catálogo de la coleccion de dibujos originales de la Biblioteca nacional, Madrid, Tipografía de la revista de arch. bibl. y museos, 1906.

B. Bednorz, Achim), L'architecture maure en Andalousie, s. l., PLM éditions, 1995.

. Boone, L'âge d'Or espagnol, 1993.

. Borromini-en-perspective, École nationale supérieure des beaux-arts/musée du Louvre, p.128, 2003.

. Boyer, « La peinture et la gravure à Aix-en-Provence aux XVI e , XVII e et XVIII e siècles (1530-1790) », Gazette des Beaux-Arts, juillet/août/septembre, 1971.

. Id, âge d'or de la peinture espagnole, p.326, 1991.

. Chro?cicki, « La reconquête catholique dans l'architecture et la peinture religieuses (La Pologne aux XVII e et XVIII e siècles) », XVII e siècle, pp.345-357, 1998.

V. Correia and . Gonçalves, Inventario artistico de Portugal, Academia nacional de Belas Artes, t. II, Lisbonne, 1947.

D. Kaufmann, Painterly Enlightenment. The Art of Franz Anton Maulbertsch, pp.1724-1796, 2005.

P. Gestoso, Sevilla monumental y artistica, III, Séville, 1892, 622 p., 7 pl, N & B

G. Proske, Juan Martínez Montañés, sevillian sculptor, The Hispanic society of America, 0190.

. Gomez-moreno, La arquitectura religiosa granadina en la crisis del Renacimiento, Monografica Arte y Arqueologia Universitad de Granada, p.486, 1560.

. Levey, L'art du XVIII e siècle, 1993.

M. Ripoll, . Antonio, and . Francisco-de-herrera, El viejo, Excma. Diputacion Provincial de Sevilla, vol.80, p.356, 1978.

. Milman, Architectures peintes en trompe-l'oeil, 1992.

M. Nieto, Guia de la iglesia en Toledo, s. éd, p.p, 1975.

P. Museo-del, inventario general de pinturas, t. II, El museo de la Trinidad, p.513, 1991.

. Norberg-schulz, Architecture baroque, coll. Histoire de l'architecture, s. l, p.225, 1992.

. Id, Architecture du baroque tardif et rococo, 1983.

. Id, Architecture baroque tardive et rococo, coll. Histoire de l'architecture, s. l, Gallimard/Electa, p.217, 1994.

. Pacheco, L'art de la peinture, présentation et traduction de Lauriane Fallay d'Este, coll. l'esprit et les formes, p.277, 1986.

M. Pérouse-de, Histoire de l'architecture française de la Renaissance à la Révolution, p.515, 1989.

. Rubens, Ermitage, Léningrad, Musée des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou, Musée de l'Art Occidental et Oriental), p.207, 1989.

. Tapié, Baroque et Classicisme, Librairie générale française, 1986.
DOI : 10.3406/ahess.1959.2870

T. Martin, Arquitectura madrilena del siglo XVII (datos para su estudio), 1983.

. Tomes, Gaspar de Crayer, sa vie et ses oeuvres, Vlieghe, vol.334, issue.2, 1972.

. Wittkower, Art et architecture en Italie, 1600-1750, 1 ère éd, p.716, 1958.

Y. Luaces, Los reyes catolicos, paisage artistico de una monarquia, p.430, 1993.

D. Bautier and . Robert-henri, « Normalisation des règles pour l'établissement de notices descriptives de sceaux », Revue française d'héraldique et de sigillographie, pp.54-59

. Triomphes-du-baroque, . En-europe, . A. Henry, . Milton, /. Venise et al., Musée des beaux-arts/National Gallery of Art/ Musée des beaux-arts, pp.1600-1750, 1999.

J. Garemijn, Geen dag zonder Lijn, numéro spécial du Museum bulletin

. Rubens, Palais des Beaux-Arts, Lille, 6 mars-14 juin, p.8, 2007.

. Rubens and . Du-génie, Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, pp.14-27

. Chaudonneret-(-marie-claude, La Peinture troubadour, deux maîtres lyonnais, Pierre Révoil (1776-1852), pp.1777-1852, 1980.

. Lemaire, Gérard-Georges), L'univers des orientalistes, 2000.