, Remise en cause de l'institution au fil des générations et évolution de la pédagogie, p.55

. .. Un-vécu-inéluctable,

E. and N. Paris, Émile Durkheim ; Collection Quadrige Numéro 109 ; mars 1990, 2 ème édition-416 p.-Qu'est-ce que la sociologie ?, La Construction sociale de la réalité. BERGER et LUCKMANN. Paris : Meridiens Klincksiek, vol.222, p.p, 1981.

, Participation des habitants et politique de la ville

B. , M. Simmel, and G. , Sociologies.) Périodiques-Les collections de l'Histoire « L'enfant et la famille ». Numéro 32-Juillet septembre, Les dossiers de l'obstétrique « Au coeur de l'apprentissage professionnel : la souffrance ? ». Numéro 284-Juin 2000-27 ème année.-Les dossiers de l'obstétrique « Quel avenir pour les sages-femmes en France ? » (Catherine-Claire Greiner) et « Apprendre et enseigner : plaidoyer pour un plaisir partagé, vol.756, p.p. (, 1999.

, Numéro 359-Avril, 2007.

L. Paulette and . Leclercq, Les femmes dans la vie religieuse au Moyen Âge. Un bref bilan bibliographique

, Consulté le 19 septembre, Georges Duby et l'histoire des femmes, 1998.

P. Dora and J. Collin, Shanoussa Aubin-Horth-Canadian Journal of Sociology/Cahiers canadiens de sociologie, 2004.

, Quelle est votre situation actuelle ? (célibat, couple, concubinage, mariage?) Divorcée

, Quel est votre statut professionnel actuel ? Sage-femme consultation

, En quelle année êtes vous entrée à l'école de sages-femmes de Nancy ?

, En quelle année avez-vous été diplômé, 1970.

, Comment se composaient les études à l'époque ? Elles se composaient en 3 années. La 1 ère année, les cours étaient communs avec l'école d'infirmière, à Lionnois. La directrice nous pistait ; il était interdit de s'habiller en mini, en maxi et en pantalon. On essayait de passer par les sous-sols pour éviter son bureau

, Quelles étaient les contraintes (internat, sorties non autorisées, vacances ? ) ?

L. 'internat-Était-obligatoire.-j'étais-mariée and U. Enfant-et-j'étais-interne-comme-tout-le-monde, On allait aussi en biberonnerie, où l'on préparait les biberons. C'était avoir du personnel gratuit. On avait des stages extérieurs en première année : j'ai été en cardiologie et en cancérologie adulte, le couloir du rez-de-chaussée, il y avait une petite table avec une chaise : on répondait au téléphone et on dérangeait les médecins dans leur bureau

C. Difficile, La directrice voulait être très dure avec les élèves, pour qu'on se sente plus prête dans la vie future. 9) Comment étaient vos relations avec le corps professoral (monitrices, directrice) On avait une seule monitrice : Mme Didier ; après on a eu Madame Lescuyer et madame Granjon qui était des sages-femmes de terrain qui sont devenues monitrices. Elle nous faisait des cours (hygiène, suite de couche, TP accouchement) ; elles surveillaient les cours, les examens. Mr Richon et Mr Ribon nous donnaient des cours. En stage, on était encadrées par les sages-femmes de terrain. Mlle Humbert était extrêmement dure. Il était interdit d'être enceinte à l'école de sage-femme, elle voulait que je quitte l'école quand je me suis retrouvée enceinte, de plus ma situation personnelle n'était pas facile avec mon mari et mes enfants. Cela endurcit beaucoup

. Le-nom-de-votre-directrice, Mlle Humbert Directrice de l'école et surveillante en chef Elle gérait aussi tout le personnel

, Quelle était l'ambiance dans votre promotion ? Avez-vous gardé des contacts ? L'ambiance était sympa. Les contacts, non, tout le monde a été éclaté

. Qu, Certaines faisaient le mur en rentrant dans les coffres des voitures des médecins On se pointait à la conciergerie, avec notre carton. Il fallait être rentrée pour 22 h. A 22h01, on gagnait une garde d'allaitement. Plus de libertés, on était trop surveillées. Pas d'homme dans les chambres, pas de nourriture , on devait aller au self, où toutes les semaines, c'était le même menu. Il n'y avait que le petit déjeuner qui était bon. 13) Vous sentiez-vous dans une formation « à part » par rapport aux autres étudiants ? J'avais peu de contacts avec l'extérieur, avec mon mari. 14) 2006 est un nouveau point de changement pour nos études : que pensez-vous des divers événements qui ont eu lieu ces derniers mois vis à vis de la réforme LMD ? Nous on a déjà défilé en 2001. On n'aurait jamais pu le faire à l'époque de Mlle Humbert. Vu maintenant, tout ce qu'on est capable et autorisées à faire, il faut continuer à se battre pour que la profession de sage-femme soit reconnue

«. , universitarisation » est-elle une bonne évolution pour la profession ? Il faut vous battre, ne pas se laisser aller. ? Questionnaires Promotion ESF2 Janvier, 2007.

, A la question numéro 4 « Y a t-il une évolution de l'ambiance à l'école par rapport votre première année ? », le groupe trouve qu'il y a une meilleure ambiance, que les mobilisations ont réunies toute l'école. Il reste toutefois des tensions. A la question numéro 5 « Comment trouvez-vous l'ambiance en stage cette année ? », une inégalité est soulevée « tout dépend des équipes avec qui l'on travaille » ; une sensation d'être mieux considérée « cette année » est néanmoins présente, bien que le statut « petite élève » persiste toujours. A propos de la question numéro 6 « Comment trouvez-vous vos relations avec le corps professoral (Sages-femmes Cadre enseignante, Directrice ) ? », la directrice est jugée très disponible. Il existe une sensation de « déranger les monitrices » et elles ne sont pas assez présentes en stage. Dans la question numéro 7 « Quelle est l'ambiance dans votre promotion ? Comment l'améliorer selon-vous ? », l'ambiance s'est plutôt détériorée depuis l'année dernière. Il existe toujours deux groupes très nets. A la question numéro 9 « Si vous pouviez améliorer vos études au sein de l'école de Nancy, quelles idées proposeriez-vous ? », les réponses sont nombreuses, 70% de concubins. L'ensemble de la promotion n'a pas répondu aux questionnaires, vol.8

L. Étudiants-souhaiteraient-une-bibliothèque-médicale-plus-grande and . Qu'une-salle-d'étude, Le groupe aimerait également que les enseignantes soient plus disponibles. A propos de la question numéro 10 « Que pensez-vous du tutorat ? Comment l'améliorer selon vous ? », les tutrices sont jugées peu disponibles et peu présentes en stage. Les entretiens ne sont pas assez longs et il n'y a pas assez de rendezvous. La pédagogie et la communication sont jugées insuffisantes. A la question numéro 11 « 2006 est un nouveau point de changement pour nos études : que pensez-vous des divers événements qui ont eu lieu ces derniers mois vis à vis de la réforme LMD ? », le combat est jugé juste mais il existe l'impression que celui-ci a été mené en vain, 2008.

, Ce groupe comprend 26 personnes dont 1 garçon. La moyenne d'âge est de 22 ans (âge minimum 21, âge maximum 25), vol.46

, A propos de la question numéro 11 « Comment pensez-vous que les études et les compétences professionnelles des sages-femmes vont évoluer dans l'avenir ? », le groupe pense à une augmentation des compétences dues à la baisse des obstétriciens avec plus de responsabilités ainsi qu'une reconnaissance Bac+5. Bien sur, tout cela si « on se bat pour ». Par rapport à la question numéro 12 « Si vous pouviez améliorer vos études, quelles idées proposeriez-vous ? », ici aussi, on retrouve en majorité la réponse « les 35 h. » et les « cours redondants » (sans plus de précision), A la question numéro 3 « Comment trouvez-vous l'ambiance à l'école par rapport à vos précédentes années ? » l'ambiance paraît soit « meilleure », soit « inchangée » à parts égales

, Au niveau des contrôles de connaissances, il aimerait des écrits plus adaptés à la réalité du terrain et à nos besoins. ? Questionnaires Promotion DE, 2006.

, Pour la question numéro 4 « Et si c'était à refaire ? », le groupe est partagé. Le métier est très valorisé « pour le métier, ça vaut le coup de recommencer », mais les études sont jugées très difficiles « si j'avais su que je vivrai quatre années de ma vie comme un enfer? ». Par rapport à la question numéro 5 « Quel est votre meilleur souvenir de vos années d'étudiant ? », on parle surtout des liens et de la solidarité entre collègues de promotion, qui était très importante. Pour la question numéro 6 « Quel est votre pire souvenir ? », le stress du stage en salle de naissance à Nancy est le centre du sujet « et surtout sa mystification qui me faisait stresser. Alors que tu verras quand tu seras sage-femme, tu sauras très bien prendre en charge tes patientes. C'est cette pression qui pesait sur moi qui me dérangeait. » Pour la question numéro 7 « Vous êtes maintenant « sage-femme », comment réagissez-vous avec les étudiants ? », les personnes interrogées essaient au mieux de faire participer dans la prise en charge des patientes les étudiants. « J'essaie de les considérer comme mes collègues ». Pour la question numéro 8 « Le tutorat avec les monitrices était-il adapté à vos besoins ? », il apparaît que le tutorat n'était pas encore mis en place à cette époque. Le groupe pense qu'il a son utilité, J'ai contacté à nouveau cette promotion un an après le Diplôme d'état, grâce aux adresses mail que le groupe m'avait laissées. Je n'ai eu que 5 réponses positives pour remplir le nouveau questionnaire

, », l'ambiance est également décrite comme « féminine », où coexistent des rivalités mais également un certain esprit de famille. Les relations avec les autres années sont jugées décevantes. Pour la question numéro 5 « Comment vivez-vous votre entrée à l'école ? », une certaine fracture est observée. On est directement dans son futur métier, « on devient vite adulte, ce qui n'est pas toujours simple. ». L'entrée à l'école est un pas vers le monde professionnel. Dans la question numéro 6 : « Comment trouvez-vous l'ambiance en stage ? », ici aussi, les relations en stages sont jugées aléatoires et l'on parle même de concurrence entre les différentes promotions. L'étudiante « doit refaire ses preuves à chaque garde avec une nouvelle sage-femme à qui l'on doit être dévouée », « les sages-femmes oublient que nous sommes là pour apprendre ». Par rapport à la question numéro 7 : « Comment trouvez-vous vos relations avec le corps professoral (Sagesfemmes Cadre enseignante, Directrice) ? », les relations sont jugées bonnes et le groupe regrette le départ prochain de la directrice. Il existe une certaine distance qui apporte un certain respect des enseignantes. La question numéro 8 : « Quelle est l'ambiance dans votre promotion ? Comment l'améliorer selon-vous ? » nous montre une promotion féminine, pleine de cohésion et de solidarité dans certains moments, mais souvent très divisée et où règne une certaine hypocrisie. Pour la question numéro 10 : « Si vous pouviez améliorer vos études au sein de l'école de Nancy, quelles idées proposeriez-vous ? », les réponses sont nombreuses, Par rapport à la question numéro 10 : « Qu'est ce qui aurait pu améliorer le vécu de vos études ? », le groupe aurait aimé plus de considération et de tolérance face à l'apprentissage dans une ambiance avec moins de pression. Un cadre d'étude plus lumineux et moderne et une meilleure organisation des cours et des stages aurait été un plus

, Dans la question numéro 14 : « 2006 est un nouveau point de changement pour nos études : que pensez-vous des divers événements qui ont eu lieu ces derniers mois vis à vis de la réforme LMD? », on observe une baisse de motivation du groupe. La mobilisation semble justifiée mais insuffisante dans cette promotion ; ce phénomène est plus ou moins relié à un « manque d'information ». Une impression « d'avoir tout fait pour rien » n'arrange en rien la motivation, de plus il apparaît difficile de se mobiliser lorsque l'on vient de s'engager dans une nouvelle voie. Mais « tout le monde est d'accord sur le fait qu'on fait le plus beau métier du monde, mais le statut n'est pas assez reconnu ». A la question numéro 15 « Que pensez-vous d'une formation universitaire pour les sages-femmes ?, certains aimeraient aussi que les années soient renommées : ESF1=P2 sage-femme, etc, 2008.

, Une moitié du groupe pense que les enseignantes sont très peu disponibles, distantes ; l'autre moitié pense l'inverse. Deux personnes estiment qu'il manque parfois de la fermeté concernant l'absentéisme dans la promotion. A la question numéro 6 : « Quelle est l'ambiance dans votre promotion ? l'ambiance inter promotions ? Comment l'améliorer selon-vous ? » le groupe se révèle être une promotion inhomogène. Il apparaît un haut taux d'absentéisme qui dérangent le groupe plus « studieux ». L'ambiance est jugée « moyenne ». Pour l'améliorer, le groupe souhaiterait un certain respect. L'ambiance inter promotion apparaît bonne, surtout avec la promotion ESF4 de part la proximité en stage. Plus de sorties comme la sortie cinéma « le 1 er cri » pourrait réunir plus souvent l'ensemble des promotions. La question numéro 7 : « Si vous pouviez améliorer vos études au sein de l'école de Nancy, quelles idées proposeriez-vous ? » le groupe propose une réduction horaire (cours et stages) à 35 h., en supprimant les cours « inutiles », afin de laisser du temps pour le travail personnel. Le groupe souhaiterait des cours plus ciblés sur la profession, une révision de l'application du programme, plus de cas cliniques et des professeurs qui respectent les horaires des cours. La redondance des cours est mise en avant à nouveau, que cela soit avec les cours de PCEM1 ou pendant l'école. Le groupe propose également de décaler les cours de l'après midi « pour finir plus tôt ». Les cours d'informatique pourraient être facultatifs. Une faible minorité souhaiterait une modification de la forme du contrôle continu (sans précision). A propos de la question numéro 8 : « Que pensez-vous du tutorat ? Comment l'améliorer selon vous ? » le concept du tutorat est jugé bon et important mais son application reste discutée. Celle-ci varie selon sa tutrice « relation de soutien » à « pas de relation du tout ». Le groupe souhaiterait que les Sages-femmes enseignantes soient plus présentes. A propos de la question numéro 9 : « Quelle est votre représentation/définition de la sage-femme ? » la sage-femme est jugée être une personne humaine, empathique, accueillante. C'est une profession médicale qui accompagne un couple ou une femme pendant la grossesse, l'accouchement et la période post-natale. Le mot « homme, A propos de la question numéro 3 : « Comment trouvez-vous l'ambiance à l'école par rapport à vos précédentes années ? », le groupe pense pour la majorité que l'ambiance est identique à l'année passée, bonne à moins bonne selon les réponses. Trois réponses orientent vers un « mieux » et deux réponses tendent vers une dégradation de l'ambiance, vol.29

L. ». Développez and . Groupe, se sent souvent mis à l'écart par les professionnels des situations délicates et ne trouve pas que cela soit une bonne chose. Cette confrontation rapide est néanmoins jugée positive « c'est la réalité du métier » et permet d'acquérir une certaine maturité puisque l'on vit des sentiments complètement différents. « Mais on n'y sera jamais assez préparé ». A propos de la question numéro 11 : « Pour vous, l'école de Nancy se diffère t-elle des autres écoles ?, Ne sait pas, p.67

, Idée de la réputation, p.33

A. , Il se remet en question très souvent et principalement en stage. A propos de la question numéro 13 : « Pensez-vous avoir évolué depuis le début de vos études ? En quoi ? » le groupe pense unanimement avoir évolué tant sur le plan pratique et clinique, que sur le plan social. « J'ai vraiment envie d'être une bonne sage-femme », « on se sent plus mature et responsable ». La question numéro 14 : « Avec du recul, comment avez vous vécu les mobilisations des étudiants sages-femmes ? » apporte des réponses mitigées. En effet, le groupe a été, dès sa première rentrée scolaire à l'école, intégré dans les mobilisations de 2006, sans avoir été très bien informé. Certains se sont investis, d'autres non. Au final le groupe est déçu d'avoir mené un combat « en vain » et souhaite aujourd'hui vivement que les réformes, connaissant les autres écoles : 25% La question numéro 12 : « Vous arrive t-il de vous remettre en question ? » révèle que le groupe est plutôt homogène, 2007.

, Certaines réponses s'orientent plutôt vers un intervenant extérieur. Le tutorat est jugé comme bonne initiative mais le temps d'écoute et le système doit être « rénové ». Pour la question numéro 7 : « Que pensez-vous de la réunion « Tour de table sur la professionnalisation » qui a eu lieu ces dernières semaines dans votre promotion ? », cette réunion semble arriver beaucoup trop tard dans le cursus. La question numéro 8 : « Quelle est l'ambiance dans votre promotion ? Comment l'améliorer selon-vous ? » révèle une promotion électrique, spontanée et franche, parfois conflictuelle. Voici les résultats de la question numéro 13 : « Quelle a été votre meilleure année à l'école ? » 77% : 4 ème année Par rapport à la question numéro 14 : « Comment vous voyez-vous comme sage-femme avec une étudiante sous votre aile ? », la plupart se voient accueillantes, à l'écoute, sans rapport de supériorité. Une réponse est toutefois très intéressante « Lui apprendre la rigueur « comme on me l'a apprise » » La question numéro 13 : « Comment pensez-vous que les études vont évoluer dans l'avenir? » est unanime : une évolution vers l'université et le Master 2 avec restructuration des études et des programmes. Enfin, la question numéro 14 : « Si vous pouviez améliorer l'ensemble de vos études, quelles idées proposeriezvous ? » amène beaucoup de propositions, tournées essentiellement vers l'acquisition des connaissances et l'ouverture vers l'extérieur. Des cours en commun avec les étudiants en médecine et des horaires mieux aménagés sont proposés, Le groupe interrogé est une promotion de 22 personnes. Il n'y a eu que 18 réponses. Parmi ces réponses, on note une population 100% féminine, avec une moyenne d'âge de 23 ans. Il coexiste dans ce groupe 66% de célibataires, 22% de couples et 11% de concubins. A la question numéro 4 : « Comment trouvez-vous l'ambiance en stage ? » le groupe est unanime pour juger les relations tendues et trop aléatoires. Certaines réponses vont même jusqu'à l'anti-pédagogie, 2007.

, Une réponse s'oriente vers les résultats du DE « reçue, et la vie commence ». A la question numéro 6 : « Quel est votre pire souvenir ? », les réponses sont orientées sur des problèmes relationnels avec des sages-femmes en stage. A la question numéro 7 : « Quelle était l'ambiance dans votre promotion ? Avez-vous gardé des contacts ? », la promotion apparaît discordante, plus ou moins bonnes. L'ambiance apparaît s'être dégradée au cours des années. Certaines ont gardé quelques contacts. A la question numéro 8 : « Vous êtes maintenant « sage-femme », comment réagissez-vous avec les étudiants ? », les jeunes sages-femmes essaient de réaliser un compagnonnage de la stagiaire, en restant humaine, « cool », pédagogue, à l'écoute. Il apparaît difficile de déléguer des tâches. le plus humainement possible en discutant beaucoup des conduites à tenir et surtout en essayant d'instaurer un compagnonnage plus qu'une hiérarchie A la question numéro 9 « Le tutorat avec les Sages-femmes Cadre enseignantes était-il adapté à vos besoins ? », le tutorat apparaît comme une bonne initiative, mais n'a pas été très utile pour ces répondants. A la question numéro 10 « Vous sentiez-vous mis à l, Quel souvenir global avez-vous de l'école ? » : Bon : 1 réponse Moyennement bon : 4 réponses Mauvais : 1 réponse « on a eu énormément de pédiatrie et finalement assez peu d'obstétrique, certains sujets importants n'ayant pas vraiment étés traités, ou très rapidement lorsqu'on a réclamé ces cours. » « de belles rencontres et expériences