T. Bouju, C. De-toute-la-philosophie, and P. , , pp.953-960

D. S. Oderberg, Divine premotion, International Journal for Philosophy of religion, vol.79, pp.207-222, 2016.

, Deus sua gubernatione secundarum causarum vim non evertit. Non solum autem Deus universa quae sunt providentia sua tuetur atque administrat, verum etiam quae moventur et agunt aliquid, intima virtute ad motum atque actionem ita impellit, ut, quamvis secundarum causarum efficientiam non impediat, praeveniat tamen, cum eius occultissima vis ad singula pertineat, et quemadmodum Sapiens testatur: Attingat a fine usque ad finem fortiter, et disponat omnia suaviter. Quare ab Apostolo dictum est, cum apud athenienses annuntiaret Deum quem ignorantes colebant: Nonlonge est ab unoquoque nostrum; in ipso enim vivimus, et move mur, et sumus" Non seulement Dieu, par sa Providence, soutient et gouverne toute la création; mais c'est Lui qui en réalité communique le mouvement et l'action à tout ce qui se meut et à tout ce qui agit, resp. Cf. Catéchisme romain Prima Pars, Capitulum II, vol.22, p.31

. De-même-encore, . Dans-le-catéchisme, and . De, Il est la cause première qui opère dans et par les causes secondes : " Car c'est Dieu qui opère en nous à la fois le vouloir et l'opération même, au profit de ses bienveillants desseins, 1992.

. Scarpia, On trouverait incongru que Meursault réponde au juge d'instruction que c'est Camus qui l'a poussé à tirer au revolver sur sa victime 49

. Dans-le-cadre-de-l'analogie-ici-proposée-entre and . Dieu, Au moins, c'est l'intérêt de cette analogie, la temporalité du scénario et des personnages est distincte de celle du romancier. Et s'il prend fantaisie au romancier de décrire son intervention, sa participation à la trame du roman, soit comme personnage fictif (point de vue de la première personne) soit réel (autobiographie), le temps de la composition de l'ouvrage ne se confond pas avec celui du déroulement de l'action. Et la distinction entre l'auteur (atemporel) et le narrateur, d'autres part les causes secondes et le scénario et les personnages du roman, le romancier comme tel n'appartient pas au récit

A. De-libera-a-Écrit-un-roman-où-le, Mais cette mise en abyme fait elle-même partie du roman : le personnage de Morgen Schtarbe (Flammarion, 1999) ne s'adresse pas plus à Libera que le héros de Rose Purple of Cairo (Woody Allen, 1985) ne s'échappe de l'écran pour conter fleurette à une spectatrice. C'est bien à l'écran qu'il sort de l'écran

, Ailleurs (Approche sans entraves, Fayard 1973, p. 315) Maritain s'en prend à « l'idée absurde et intolérable d'un Dieu Potentat-Dramaturge insensible dans son ciel au mal des personnages auxquels il fait jouer sa pièce de théâtre ». Mais il est possible, dans la conception atemporaliste de la création et de la conservation, d'affirmer que les personnages jouent librement, tout en tenant leur pouvoir d'agir et leur opération de Dieu seul, et que ce faisant, ils ne font pas rien, même quand ils font le mal. Et aussi, quand ils font le bien. prescience et liberté, on pourrait évoquer la remarque de Nelson Pike, p.714, 1985.

N. Pike, ;. Routlege, and K. Paul, On pourrait suggérer que l'atemporalité est la manière la plus simple d'être immuable, incorruptible et immortel. Un être atemporel n'a pas besoin de se prémunir contre le changement pour être immuable, d'échapper au vieillissement, de se maintenir en vie. Atemporel, il n'a même pas le temps de changer, de se corrompre, de mourir. Il est simplement immuable, incorruptible et immortel. On a essayé de montrer plus haut que ces attributs hiératiques n, God and Timelessness (Study in Ethics and Philosophy of Religion), 1970.