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, Il y a une grande ressemblance entre les reilles gallo-romaines de I'espace

M. and C. Qui, est représentee sur I'araire type "Hunspflug" de RBraungart'6e 1 voir Planche n'3 -9)

. De-même and . Le-coutre, de cet araire est muni d'un aeillet, cofilme c'est le cas poul certain coutres découverts avec les reilles gallo-romaines de cette région (voir Planche no3 ll ), Nous avons déjà e:çliqué dans le chapitre concernant les coutres

I. De, Gôritz, son emploi dans les araires tourne oreille . Ces deux éléments, la ressemblance presque parfaite de la reille et I'emploi d'un coute à aeillet, confirment le lien de parenté entre I'araire "Hunspflug" et l'araire gallo-romain de I'espace Sarre

, Une miniature représentant un modèle d'araire a été trouvée en creusant un canal à

, Cette miniature en b'ronze a une longueur de 147 mrn, c'est donc un objet bien lisible. Elle fait I'objet de plusieurs publications3To et elle provient d'une tombe dont la datation se situerait entre 100 et250 ap, Cologne J. C

L. 'examen-de-la-représentation, conduit à penser qu'il pourrait s'âgir, là aussi, d'un d'araire de tlpeHunspflug", bien sur ce n'est quune hypothèse. Le versoir mobile à tenon est bien présent, mais au lieu d'être situé unilatéralement comme le veut l'usage, deux versoirs auraient été mis en place, l'un à droite, I'autre à gauche, peut-être pour equilibrer la miniature. La reille et le mancheron sont très ressemblants mais le coutre est absent, Conclusion Il existe des points cornmuns entre les reilles des Médiomatriques et des Trévires, la représentation du labour du relief de tvlartelange , la miniature de C-ologne, peut-être même la (rc ) Braungrt k, Die Ackerbaugertrtlae, ttreidelberg, 18t2, Atlas fig, p.461

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L. Musée and . Ville,

M. Musée,

M. Musée,

A. Musée and . Ste-reine, 1 )

. Musée, /. Châtillon, F. Seine, and . Usée, Bourgogne 1 )

D. Musée,

D. Musée,

D. Musée,

D. Musée,

. Musée, /. Châlons, and . Mame,

R. Musée,

R. Musée,

C. Musée, Centre, France. non oonnu Mtsée, Etaples(62)

M. A. Trouvé-À-43soc-non-connu and S. Germain-en-laye, lle de France, France. 44soc non connu Musée Bourgogne,France. 45soc Porcaro (56), p.46

S. Musée, Poitou-Charentes, France. 47soc Vignot(55)

L. Musée and . Le-saulnier, Franche-comté, France 49 soc Boiry Notre Dame (62) Service d'archéologie, Anas(62), 50soc Essarois (21) Pays de la Loire, pp.51-53

J. Musee-de, Pays de la

. Sarrebourg,

. Sanebourg,

. Marly-au-bois, Lonaine, France. lieu non connu Waldfischbach. Rhei nland Pfalz, Allemagne. lxheim, Rheinland Pfalz

, Mulhouse (68)

F. Mulhouse-alsace, . Eschringen, A. Saar, . Fechingen, A. Saar et al., Franche-comté, France. Avenches, Suisse. lxheim, Rheinland Pfalz, Allemagne, Thoraise (25)

, St Lupicin, issue.39

, St Lupicin, issue.39

. St-aubin,

. St-aubin,

L. Hérapel, Lonaine, France. Chemery (57)

, MeE, issue.57

M. Musée,

M. Musée,

M. Musée,

M. Musée,

E. Musée,

B. Musée,

A. Musée, . Suisse, . Museum, A. Zweibrucken-rheinland-ffalz, D. R. Inconnu-inconnu-inconnu-inconnu-inconnu et al.,

P. Musée,

P. Musée,

, Ap(&4), Musée

L. Musée and . Le-saunier, Franche-comté, Musée, Lons le Saunier (39), Franche-comté, Franche-comté

M. Musée,

T. Museum, Rheinland Pfla-1, Allemagne. Landesm useum, Speier, Rheinland ffalz, Al lemag ne Landesm useum, Speier, Rheinland Pfalz, Allemag ne Museum

, Alsace

, Alsace

S. Musée,

M. Musée,

M. Musée,

M. Musée,

M. Musée,

J. Musée-du-fer,

J. Musée-du-fer,

. Musée-du-fer and !. !. Jarvi,

M. Musée,

D. Musée-archélogique, Bourgogne, France. M usée archélogique

, Musée archélogique, issue.21

, Musée archélogique, issue.21

. Musée-archélogique,-d-'rjon,

D. Musée-archélogique,

M. A. St-germain-en-laye, France. lnconnu actuellement Planches

, Chapître I

, Planche no 1-1 Trochet diftrent types d'araire

M. Bégo,

, Planche no l-3 reliefNimes et Aix

, Planche no 1-5 Reille deMazan Planche no l-6 Porte Mars de Reims Planche no l-7 Relief d'Arlon Flanche no 1-8 Relief de Clausen et deMonderkange Planche no l-9 Miniatures de Lachau Planche no 1-10 Araire miniature de Cologne Planche no l-ll Gallia Tarquimpol Planche no l-12 Htes Pyrénees et Bulgarie Planche no 1-13 Effort sur araire Planche no l-14, Planche no 1-4 Mosaîque St Romain en Gal

, Planche n2-1-b Répartition géographique des coutres simple et coutres doublesdécouvertes en Gaule

, Planche no2-l c Répartition géographique des pièces métalliques d'intruments aratoires découvertes dans I'

, no 2-4 Elancement et surface de travail Planche n2-5 Cowbe de fréquence cumulée des largeurs Planche no 2-6 Elancement des socs fonction de leu largeur Planche no 2-7 Histogramme des sections des socs Planche no 2-8 Relation largew surface travaillante Planche no 2-9 Relation largeur de douille surfrce travaillante Planche n%-10 Relation largeur soc à lumières et'longuew Planehe no 2-11 Histogramme largeur socs à lumières Plsnche no 2-12 Relation élancement surface soc dans soc à lumières Flanche no 2-13 Histograrmne sruface soc à lumières Planche no 2-14 Relation écartement des lumières largeur de douille Planche no 2-15 Araire d'Anost Plenche no 2-16 Classification des socs Planche no 2-l7a Répartition des socs à lumières en Gaule Planche no 2-l7b Répartition des socs à lumières gallo-rornain en Gaule Planche no 2-18 Relation élancement surfrce reille Planche no 2-19 Classification des reilies Planche no 2'20 Répartition des reilles en Gaule Planche no 2-2lRepartition des reilles pelles en Est de la Gaule planche no 2-22 Répartition geographique des reilles lanceolée Planche no 2-23 Repartition geographique des reilles à rabats Planche no 2-24 Coutre et coutrier Planche no 2'25 Coutre à manche St Germain en Laye Planche no 2-26 Coutre à manche S.E. Rees Planche no 2'27 Coutre à manche Marinov Planche n" 2-28 Soc dissymétrique et retournement Braungart Planche n? 2-29 Régtage coutre avec soc à lumières en Htes Pyrénées Planche no2-30 Versoir mobile et coutre à, Planche no 2-1 d Repere des lieu de découvertes Planche no 2-2 a Caractéristiques générales des socs et reilles Planche no 2-2 b dureté des soc et reille Planche no 2-3 Histograrnme des largeurs de soc Planche aeillet Braungart Planche no 2-31 Coutre double les diverses positions des lames planche no 2-32Coutre double forme générale et lame triangle rectangle en hélice planche no 2-33 Essai de retournement avec coutre simple appendice lame rectangulaire Planche no 2-34 Réglage du coutre avec pleyon planche no 2-35 Essai àe retournement avec coutre lame isocele et appendice Planche no 2-36Etude des possibilités de réglage du coutre à appendice Planche no 2-37 Etude théorique du réglage du coutre à appendice Planche no 2-38 Araire avec soc à lumières des Htes Pyrénées Planche no2-39 Répartition des coutres simples en Gaule Belgique Planche no 2-40 Répartition des coutres à oeuiliet en Gaule Belgique planche no 2-4lnepartition des coutres simples à appendice en Gaule Belgique planche no 2-42 nepartition des coutre double à appendice en Gaule Belgique planche no 2-43 nepartition des coutres doubles romain en Gaule Belgique Chapitre III

. Planche-i-l, Type de labour Comet Planche3-2 Climat France, Boulaine Plauche 3-3 Anost araire Planche 3-4 pénétration du soc dans le sol Planche 3-5 Comparaison de chaînes à gros maillons Planche 3-6 Araire à chaîne

, Planche 3-10 Comparaison soc à lumières

, Planche 3-11 Coutre à aeillet Planche 3-12 Miniature de Cologne Planche 3-13 Répartition géographique coutre a aeillet et reille

, Planche 3-14 Fixation sur douille plate

, Planche 3-15 Chamre à chiens de Bonn et 2 araires de Barbe Planche 3-16 Baeuf indigène et baeuf

, Planche 3-18 Courbe effort soc rectangulaire avec retournement (l) Planche 3-19 Force de traction de baeuf de 200kg en fonction du nb Plrrnche 3-20 Force traction bceuf de 100 à 600 kgptte7% Plrnche 3-21 Force traction baeuf de 100 à 600 kg fie l0o/o Planche 3-22 Courbe effort Hohenheim en fonction du tlpe instrument Planche 3-23 Rotation simple, Planche 3-17 Courbe effort sur soc Siangulaire sans retournernent Rotation Norfolk Mazoyer Planche 3-26 Cutture du foin et stabulation Mazoyer Total, pp.82-84

L. Travail and D. La-terre-le-travail-de-la-terre-dans, le cas simple de I'araire présente une analogie avec le travail du métal par usinage Nous rappelons ici les principes de base et ensuite nous extrapolerons au labourage. Reprenons I'usinage d'un copeau de métal La figure ci-dessous montre la position de I'outil La dépouille représentée par I'angle d permet d'éviter le frottement de I'outil sur la pièce

*. Fl:-f-*-sin-u:-rr, lié à la penétration de l'outil (soc) Avec Rr: résistance à la rupture du métal (sol ) Et F2 qui donne naissance à une force de frottement qui aura pour valeur F2 * f Avec f : coefftcient de frottement. L'effort total sur l'outil sera la somme géométrique des deux composantes

S. L. On-fait-i-'analôgie-complète-avec-le-travail-du-soc-d-'araire-dans-le-sol, ce qui peut être discutable mais cela pùmet une bonne approche, l'effort à fournir à I'araire dépend de: I'angle du soc Par rapport au sol la résistance du sol au cisaillement coefficient de frottement de la terre avec le soc la "section droitettl du sol travaillé par le soc On trouve une formule du genre P : K * S L'angle de dépouille d est à'autant plus important que le sol est caillouteux' Bien sûr il faudrait tenir compae du facteur de forme du soc et le problème devient alors dif{icile à résoudre par un calcul simple. Il faut avoir recours soit à I'expérimentation, soit à une modélisation avec purrug

, Ce sont ce genre de courbe 2 que l'on retrouve dans les ouvrages spécialisés (l ) la section droite est la projection sur le plan vertical de la section de la terre "travaillée" par le soc' P i it;;kî. n J van dl werkert powei &and labour requiranents in soil tillage. A theorical approactr' Soil attd Tillage Research, pp.3-25, 1985.

, Annexe, issue.3

, AI\NEXE NO, vol.3

E. Stabilite, Nous avons examinés les efforts statiques sur les araires en retenant trois cas L' arahe manche-sep ou araire piocbe L'araire dental ou araire rabot L'araire dental à roues po*rquoi ces trois tlpes seulerent alors qu'il en existe d'autres en apparence aussi interessant. un exa6en rupiié nous a rnontré q* ril"r formes d'araire sont tres nombreuses le sens des efforts, leur irnpo^rtance et la stabilité de ces instruments pouvait rame-ner l'étude à un nombre limité de cas. L'influence des efforts sur I'araires passe avant les classements ethnologiques. Nous iejoignons en cela les conctusions H. Chevallie( t ;déjà cité, sous langle d'une étude technique les araires se ramène en derx groupes : .lesarairespiochesquidériventd'unepiochetraînée, -les araires iunotr qui évoluent parallèlement au sol et soulèvent la terre comme un copeau de rabot, Nous ajoutons un troisièrne goupo issu des araires rabots qui vient de ladjonction de roues pour examiner leur influence sur le travail de I'araire. Les instruments à avant-fain indépendant font partie du troisième SouPa, le réglage de I'instnrment est seul different

C. Des, A. Araire-manciie-sep-ou, and . Piociie, , p.13

, Nous avorui schérnatise finstrument coûune représenté sut le croquis de la Planche Soit A= effort de lhorme

, F: force de traction sur le timon Ro = réaction du soc perpendiculaire au soc' cr = angle du timon sur lhorizontale

, Le système est en équilibre si L Moment par rapport au point o = 0 I Fo, p.0

F. , *. Uz-l-'effort, and L. Cosp, L?s anciennes chamres d'Europe, Mënnire k Ingéniews civils fu Fraraee,Paris,l9l2' avec 14: L1*sin (a +F ) pour réduire A on allonge L et I'on réduit I'angle p en courbant la pièce coilmre tracé sur le croquis en pointillé.On rejoint ainsi les formes générales d'araire rnanche-sep que lethnologie nous montre. 2) ARAIRE RABOT L' instnrment est schématise sur le croquis. Les forces sont répertoriés comme précedernnrent, mais on ajoute la résistance de frottenent du sol qui ici crée un moment supplémentaire soit R1

F. , *. Cosb-\-*-llz-nous-avons-i-'effort, and {. , L si I'on néglige le poids de I'araire P. L étant la projection sur l'aere

, Com6e pour I'araire pioche la traction tend à frire pivoter autour de la pointe du soc I'ensembË de I'araire. Mais pour garder la trajectoire le laboureur doit appuyer en A pour maintenir I'araire à plat, alors que pour I'

A. Rabot and . Roue-l, adjonction d'une roue donne par zuite de la réaction du sol une force Rt qui va dans le même sens que la force A et soulage ainsi I'effort du laboureur. L'expression de A devient: F*Lt

, Avec toujours L projection sur I'axe horizontal de La En frit le problèrne de la roue prend toute son importance dans létude de la stabilité de I'araireo rnême si

C. Des, examen des trois fomlrles permettant le calcul de l'effort A du laboureur à paramètres sensiblement identiques donne un avantage marqué à faraire rabot à roue sur i'u*it" rabot simple, lui-même plus frible que I'araire pioche. Une siryle comparaison des numérateurs le montre

S. Des and D. Types-d-'arairl-', Nous allons étudier les variations de I'effort fourni par le laboureur dans son travail pot5 assiurer la stabilité de l

, Ltfort A du laboureur sur le mancheron de laraire dépend de I'angle du timon (a) par rapport à lhorizontale et de celui du soc par rap

. La-stabilité-de, cette force A en fonction des angles c et p seront Èibles Cette étude a été frite par nous et on en déduit : l) L'araire pioche a un grand degré d'instabilité et le laboureur doit en permanence contrôler son instnrnent. 2) L'araire rabot ordinaire est relativement plus stable et ceci d'autant plus que la longueur du dental (ou du rabot) est grande. 3) L'adjonction d'une roue a laraire rabot permet en frit de limiter les variations des angles cr et B . ia tooe a donc un effet prepondérant sur la stabilité de laraire sur sa trajectoire. CONCLUSION L'araire pioche est généralement un instrument léger et de ce fait il est très maniable, en contre partie sa conduite nécessite un effort inrportant du laboweur et son instabilité inpose une attention permanente, car à surfrcç travaillée égale il demande un effort zupériern. En terrain difficile 6errain pierreux etc..) il doit présenter des avantages surtout si I'attelage est de petite capacité, Ljaraire rabot est plus stable sur sa trajectoire et par conséquent demande un effort réduit au labowern. Cependant si le terrain est difficile il faut un attelage puissant si Iinstnrment est lourd et donc peu rnaniable. L'araire rabot à roue réduit encore I'effort de lhomrneo il élimine pratiquement les àcoups dus aux inégularités de traction de lattelage et rend la hajectoire stable. Si linstrument généralement est assez lourd il pernrct gFârr-à I'appui sur la roue un travail disqmétrique frcile avec toutes les possibilités qui peuvent en découler

, utilisee pour comparer I'efrort foufiii par lbperatcur lors de son travail. Si A est lbfrort fourni par lbpérateur pour maintenir I'araire ro itu"" pendant le travail, I'effort zupplémentaire à fournir pour une petite variation (dx) autour d'un point de forrctionnernent est donné pax la formule : A(xlrdx) = A(xg) + dA(xg/dx *dx L'intéret cette formrle est de mntrer que plus dA(flydx est frible plus il sera frcile pour I'o$rateur de contrôler I

, A partir de lÀ l'étrde de h stabilité est réalisée dans bs différems cas retenus. cas 1:Araire Pioche. en négligeant le poids de laraire on obtient : A = [F.Lt*sin(c+p) -R0

, (a) -R0.y2.sin(p)] / tl.cos2(p)l cas 2 :araire rabpt à.{oue dans les mêmes corditions de fonctionnerent que le cas I on a 4= [F.La*sm(a+P) -R0.12] llLa* cos(p-po)l Dont la dérivée est : A (F)=F* co{cr,+p/cos(F-Fo) + [F* sin(a+F)* sin, po) -[Ro * I /2 * sin( P-Po)l/La* cos

, Autour du point de fonctiomemffit on a p:po d'où A'(ÊoF F*co{a+F

I. Si and . 'on-Étudie-au-niveau, du point de fonctionnenaent les deux systèrnes Araire pioche et Araire rabot, on doit conparer : A' (Fo) de I' araire piocbae[Fl 1 * coscr-Ro * I /2* sinp]/Lcos'po Q,gi peut être réduit à A', p.2

A. Et and . 'de-i-'araire-rabot=-f-*-cos,

, Ceci nogs montre que d'une part I'efrort ds nraintient d'un arahe pioche est d'autant plus stable que le poiut de de traction est proche du soc (rap'port t/Ll frible). D'autre part à partir des dinerses vateurs relwées dans la pratiqw sw bs araires, il apparait que les araires rabots sont phrs stables et ptus frcile à contrôler pû le laboureur. Dans le cas de la Fésence d'une roue cç calcul n'a pas de signification

, Grâce à gne symbiose avec un micro-organisme le rhizobium elles captent directernent I'azateanrmsphérique. Onpeut donc éviter de leur apporter de I'azote. Les racines restent dans le soi apres recohe et celles-ci sont très riches en azote (la production peut atteindre jusqu'à 500 Kg lhaef80 à 140 Kg sont aeuranQ' 2) L'absorPtion de l'aznte. L,amte est absorbé par les racines

L. Le-hsrsage-frvorise-ta-minéralisation, De même les azobacters (bactérie fixant l'amtJ de I'air dans le sol)

, Les terres contiennent 1/1000 de potasse rnais seulement 0, 21000.

E. Est-fixée-sur-les-argiles-notamment, Ii varie de I à 10 selon que I'on a de la kaolinite ou de la rnontmorillonnite. L'apport sera donc fonction de la quantité d'argile dans le sol et de sa nature. ta potasse rend les plantes vigoureuses (résistance au ûoi4 à la sécheresse' aux parasites et ônne rigidité) Elle a cornme le phosphore unrôle important strr le rendement. ùIae phosphore 8. ii pUffi-nore est contenu en quantité suffrsante dans le sol mêrne dans ceux dits ,pauwes". ùAr i. P2 cl5 n'est pas toujours assimillle, sd si l'humus exeroe une action fàvorable par son activité microLienne. Le rôle de I'humus, donc du frrmier, est important pour mobiiiser le phosphore du sol. Mais cette mobilisation se fait mal dans un sol acide

. La-mise-en-repos, ce qui n'est pas tout à frit la jachère)*permet,--si I'on n'a pas d,engraisn ae renare assimiiablc le P et le K contenus dans le sol. Cela facilite l'élimination des éléments inhibitegrs qui se

*. A. Ct, , pp.123-130

L. Cros, , p.139

*. A. At, , pp.169-170

S. Du-bilai{,

A. Df, L. Ilfvagt, A. Df, and N. Légunin, CfRfALfS II)ESSALDEÈILô1.{

L. and N. Equilibr,

A. Ëaeéations, Les rendements obtenus au Moyen-Age vont de 1/l à dl e. cela correspond aux valenrs en quintarx suivantes.( hors prélèvement de serrence )

/. Quintaux and . Ha,

, France et que en 1900 rcus avions 12 qlha en rnoyenne' La nmyenne actuelle se situe autour de 50 q/hq dans certaines régions on dépasse fréquemment 100 qAalo avec 200 Kg /ha d'çngrais consommé' Semence. On a actuellement 2.5 hl' llade semerce Au Moyen-Age les semences tl étaient au mieux deZhl ( 0.S à 2 ) soit 160 Kg à I'hectare' Nous supposot5 que l'enrichissement du à I'humus et aux apports propres n'existe pgs. C'Cst le cas doune terre pauvre ou de la culture hors sol' Les prélèvements dus à la production de ceréales sont indiqués dans le dessous 12, Rappelons que le rendement de 6ll correspond à la valeur moyerme de 1825 en

, Rendement Zl soit 3

, Rendement 5/l soit 9 qlbo, 0730.

, Rendement 6/l soit l lq

, Chifte par excès eat las?rnence est incluse

G. G. Cma, Lc poysot et son outil, Prig 199, tr )Cma G.,op. cit.,p.14Ù149. itt i Sottoer O'.,its gàres proùrcttons vëgâales. Angas, pp.294-315

P. Oavet, , p.263

C. Uauet and P. , Le pietin echaudage dessèche la plante et la maturation du grain se fait mal. f ) rc piétin verse provoque une verse en tout sens des céréales, elle complique la coupe et diminue le rendement. ( ; Oavet P. , op. cit., page3l4. un certain nombre de plantes agissent comme des leurres naturels vis à vis des micro-organismes parasites, leù déveloipement est nogaf mais leur reproduction est inhibée pu. tr. ,ild", O" ô.r pl*t s. Il en 1es,{ae une diminution importante des parasites' C'est le cas de graminées .oÀ-" par exemple Avena sativa, Panicum maximun etc.. et de quelques plantes oléagineuses. d) Les micro-organismes auxiliaires'(8) L,azoteest un des principaux facteurs limitants de la production végétale. Cependant I'azoteest présent dans I'athmosphère en quantite quasiment illimitee' L'exploitation et le développeÀent des voies biologiques de la fixation de l'azote représente donc-un intérêt considérable. Parmi les es$ces-tultiné.t les légumineuses sont pratiquemeni 19s seules à pouvoir fixer l,azote de t'âir grâce au bacilius radicicola ou rhizobium qui, p.314

, )on notera que: -l,azoteorg*iqu. des nodosités n'est liberé que lorsque les nodules meurent et sont repris dans le cycle de la culture. ' -Lalégumineuse fixe d'autant plus d

L. Donc-selon-la-légumineuse-considérée, A titre d'exemple nous citerons : 50 à 130 kg par ha et par an, pour les trèfles, 150 à 250kg pour la luzerne et pratiquement rien pour les poi!' Sous les climats temperés de la Gaule l'azote fixé se localise pour 9/10 dans les parties aeriennes et pour 1/10 seulement dans les racines. L'enrichissement du sol en azote par les légumineus.r..t donc en grande partie lié à I'enfouissement d'une coupe après la défriche, p.95, 1979.

, Annexe, issue.6

, Annexe no6

, Les angles d'usure des socs et des reilles

. Est-un-coefficient-qui-dépend-de-la-nature and . Est-la-sectù-droite-du-soc, Cette section droite est la projection sur le plan vertical de la s'rface du soc, elle s'exprime donc par le produit de cette surface avec le sinus de l'angle du soc par rapport au plan horizontal. Soit S: s*sin u. L'angle u a donc une certaine importance pour le calcul de I'effort de traction sgr I'araire. C'est cet angle que nous devons essayer de retrouver sur les socs par la lectgre des traces d'usure sur le-sol.-C'est pourquoi il faut snassurer de la validité de la mesure de cet angle d'usure.L'étatdes pièces métalliques ne permet rnalheureusement pas de retrouver systénÉtiquement ces tracei dousure, mais quand elles existent, Les efrorts sur les socs d'araires pour effectuer le travail du sol sont explicités en Annexe

, Au total 13 socs ont pu frire I'objet de relevés

, Ils sont représentés ici par les pièces repère : 4soc, 26so9 et 29soc Ces socs od lafrce supérieure bombée, et la section de terre travaillée correspond sensiblement à l'épaisseur maximumdu soc à I'enfoncement près de celui-ci dans le sol' 1.2.) les autres angles d'ustne. 1.2.1)Ceftaines pieces ont pu frire fobjet d'un contrôle particuli?r. Les socs repere 2soc, 3soc, l4soc ont été examinés par radiographie pour verifier lelr coryacité et esàyer de retrouver leur mode de frbnication La pièce l4soc a même fait en plus tLU5et d'un eàmen métallographique. On qeyt dgnc penser que la m?sure de I'angle d'usgre conespond à une réalité, misà part I'imprecision irùérent à ce genre de mesure. Les valeurs houvées sont : Repère 2soc:16 Repère l4soc:18" ( Soncourt 88 ) 2.2.\ Pièces sans coutnôle- Les pieCes repère 27wc, 30soc, 35soc, 48soc n'ont pu $ûir un Contrôle radiographiquôo mais leur corryacité apparente ne laisse aucun dorse stn l'état des pièces. - Avec les nÉmes réserves srn I'imprécision de h rnesure ilaêté tnouvé: Repère 27 goc 17' N efiaflt 2l ) Repère Certains socs ont une face supérieure entièremÊnt plane et la partie inférieure s'atrrpuie sur le so[ I'angle se mesure frcilement, pp.30-55

I. Sur, ensemble du catalogrre 14 socs sn 5l ont pu ftire I'objet d'une naesure de I'angle d'usure goît 27, Trois ont un angle 0 donc irdiscutable, quatre ont subi contôle radiographique et sÊÉ étaient entrès bon état. 2.)Les rçilles

, 2.1.) Pieces avec un coffiôle particulier Iaes reilles Repère lre et 2re (Sanebourg 57 ) orf été radiographiées pour vérifier la structure interne et le mode de Ëbricaeion. 1'angle trouvé est de 25". 2.2.) Pièces sans contrôle . Les reilles Repere 12re et 25re n'ont subi qu'un contrôle visuel mais leur coryacité compte, tenu de leur bon état de conservatio& a paru très satisfaisante. Repère t2re. (MacLarmay 51 ). L'angle d'usure est dc 20 à 22o (imprécision de la mesure) La pièce est particulièrernent en bon état. Repre 25re.L'ang;le d'usure est de 25o @anon S4 )La reille est là aussi en bon état de conservation Pour les reilles I'qngle d'usurp est asspz lrcmgène, Quatre reilles ont pu ême rnesurécs, et là aussi nolrs avons séparés hs pièces en deux groupes

, corryte tEnu de leur état d'orydatiog od pu être reteuu pour ure nxesuûe fiable de I'angle d'usure. Pour les socs cet angtè varie de 0 t 2?" selon le ulode de construction Les reilles ont un mgle d'usure assez bornogère que mr$ avons gardé pour hs calculs de modélisatbn Bien str de nouvelles découvertes petnaed reraettre en cause ces valeurs. n"marqn?. Pendaût longteqs I'autern a eu I'bbitudp de recomaltre les défruts des pidbes frtgéae e{ hminé"s par examen visucl ce qui a frcilité cette reckrcbp, Comlusion Comme on le voit seul un c?rtain pourcentage de pièces