External antiparasitics used in animal medicine : example of the toxicity of permethrin in cats
Les antiparasitaires externes utilisés en médecine animale : exemple de la toxicité de la perméthrine chez le chat
Résumé
Les animaux prennent de plus en plus de place au sein des foyers des français. Ces animaux de compagnie, souvent des chats ou des chiens, sont source de bien être pour les familles. Cependant, un certain budget s'impose, afin de répondre à leurs besoins. Parmi ces dépenses, nous retrouvons le traitement des parasites (internes et externes), qui représente une nécessité. Les animaux sont sujets à de nombreux parasites externes, les plus courants, étant les puces et les tiques. Pour s'en débarrasser, il existe de nombreux choix en terme d'antiparasitaires externes disponible sur le marché. Les antiparasitaires externes ont beaucoup évolué au fil de ces dernières années. Les familles chimiques utilisées autrefois sont moins utilisées, et d'autres familles chimiques ont pris place, grâce à leur efficacité plus importante, et moindre toxicité. Les formes galéniques sont variées : nous y retrouvons des spot-on, des comprimés, des injections… Parmi les molécules employées, une a été reconnue comme étant toxique chez les chats, peu importe son dosage. Cette molécule est contre-indiquée chez cette espèce. Malgré les recommandations, il existe chaque année des cas d'intoxications. Dans un premier temps, nous verrons les différents parasites rencontrés chez les chiens et chats. Ensuite, nous détaillerons les différentes familles chimiques utilisées en tant qu'antiparasitaires externes. Enfin, l'objectif de cette thèse d'expliquer la toxicité chez cet animal, et la conduite à tenir lorsque celui-ci est exposé à la perméthrine.
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